Jacqueline Vachon

Jacqueline Vachon a obtenu une maîtrise en psychologie clinique à l’Université Purdue. Elle a travaillé dans le système de soins de santé, fournissant des évaluations neuropsychologiques et des thérapies à des personnes ayant divers besoins en matière de santé mentale (dépression, douleur chronique, troubles cognitifs, etc.) Elle a publié des articles évalués par des pairs dans divers domaines et a acquis une expérience en gestion de la recherche dans le cadre de projets menés à l’Université de Yale, à l’Université du Minnesota et à l’Université McGill. Les équipes que Jacqueline a gérées étaient principalement financées par les National Institutes of Health (NIH), les Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC) et Santé Canada. L’expérience de Jacqueline en matière de gestion couvre plusieurs domaines d’étude, notamment les maladies neurodégénératives, la chirurgie cardiaque et l’oncologie psychosociale.

Samar Attieh

Samar Attieh a obtenu un doctorat en médecine expérimentale à l’Université McGill, sous la supervision de la professeure Carmen G. Loiselle. Les objectifs de sa thèse étaient de mesurer les perceptions qu’avaient diverses parties prenantes du fonctionnement de l’équipe de cancérologie pendant la pandémie de COVID-19 et sa transition, ainsi que d’identifier les principaux facteurs contribuant à un fonctionnement optimal de l’équipe, tels que perçus par les professionnels de la santé, les patients, les aidants naturels et les bénévoles. En tant que chercheuse postdoctorale à l’Université d’Ottawa, Samar travaille actuellement sur une étude à méthode mixte qui explore des facteurs psychosociaux tels que l’espoir dans le contexte des cancers rares. 

Andreea Constantinescu

Andreea Constantinescu a obtenu son diplôme de premier cycle en neurosciences comportementales à l’Université Concordia. En mai 2024, elle a complété sa maîtrise en sciences infirmières à l’Université McGill. Actuellement, Andreea travaille à temps partiel comme infirmière clinicienne aux urgences du Centre universitaire de santé McGill. En plus de son engagement comme travailleuse de la santé en première ligne, elle s’intéresse particulièrement à la recherche en sciences infirmières, notamment dans les domaines de la santé numérique. Au cours de son programme de maîtrise, elle a participé à divers projets de recherche axés sur les initiatives de santé numérique et leur impact sur l’expérience et les soins des patients. Bien que son parcours académique puisse être considéré comme non traditionnel, ses expériences en tant qu’étudiante ont façonné ses objectifs et intérêts professionnels, d’où son engagement avec le laboratoire Loiselle.