Certaines femmes atteintes d’un cancer du sein risquent davantage de souffrir d’ostéoporose, de fragilité osseuse et de fractures en raison de la nature des traitements anticancéreux. L’espoir c’est la vie et le Centre du cancer Segal pilotent présentement un programme consacré à la promotion de la santé des os lors d’un cancer du sein. Cette initiative a été rendue possible grâce à une subvention (2014-2017) de la Fondation du cancer du sein du Québec (rubanrose.org). Le programme représente un effort collectif, sous la codirection d’une infirmière et d’une physiothérapeute qui collaborent pour identifier, examiner et soutenir les femmes, par des activités s’appuyant sur la recherche. La chercheuse principale, la professeure Carmen Loiselle, et son équipe (J. Lapointe, M. Dalzell, S. O’Brien, G. J. Lau et M. Ibrahim) observent comment la sensibilisation, l’éducation, l’exercice, la nutrition et les la modification des habitudes de vie peuvent être intégrés aux pratiques actuelles dans le traitement du cancer du sein. L’aboutissement de ces efforts prendra la forme d’une trousse d’outils complète et efficace sur la santé des os, qui pourra être facilement transmise à une variété de milieux cliniques au Québec.
Pour plus de renseignements sur ce programme, veuillez contacter :
Garnet Lau, infirmière autorisée, MSc(A), MSc
glau@jgh.mcgill.ca
(514) 340-8222 ext. 28658
santeseinsetos.ca
L’objectif global de cette étude pilote est d’évaluer l’applicabilité d’un dépistage électronique de la détresse et d’un système de soutien psychosocial mis à la disposition, sur une base volontaire, de patients ayant récemment reçu un diagnostic de cancer. Les principaux objectifs de l’étude sont 1) de documenter la faisabilité, l’utilité et l’acceptabilité d’un dépistage électronique de la détresse et d’un système de soutien psychosocial destinés à des patients qui viennent de recevoir un diagnostic de cancer et qui souhaitent bénéficier de ces ressources 2) d’examiner la nature des demandes des participants pour obtenir de l’information liée à la détresse et 3) d’évaluer si les scores indiquant la détresse changent après l’accès au programme.
Pour plus de renseignements sur ce programme, veuillez contacter :
Jacqueline Vachon, MSc
loiselle-research@mcgill.ca
(514) 398-8977
Le laboratoire de recherche de la professeure Loiselle s’est joint à l’équipe de recherche du Dr Jacques Simard à l’Université Laval pour participer à une étude multicentre internationale financée par Génome Québec, qui cherche à améliorer la prévention et le dépistage des facteurs de risque personnels du cancer du sein. Dans le cadre du projet PERSPECTIVE – acronyme de « PErsonalised Risk Stratification for Prevention and Early deteCtion of breast cancer » (Stratification personnalisée du risque pour la prévention et la détection précoce du cancer du sein) –, la professeure Loiselle et l’équipe de recherche évaluent un nouveau site Web conçu à l’intention de femmes en population générale afin de connaître leurs perceptions et l’acceptabilité, à leurs yeux, de l’information sur les facteurs de risque génétiques et liés aux habitudes de vie, sous l’angle de la prévention, du dépistage et du suivi des risques de cancer du sein.
Pour plus de renseignements sur ce programme, veuillez communiquer avec :
Jacqueline Vachon, M. Sc.
loiselle-research@mcgill.ca
(514) 398-8977
Prenant appui sur l’étude PERSPECTIVE, cette étude financée par le ministère de l’Économie, de la Science et de l’Innovation vise à fournir aux femmes et à leurs fournisseurs des outils de télésanté susceptibles d’être utilisés pendant les tests génétiques du cancer du sein et tout au long du processus de suivi. En collaboration avec le Dr Jacques Simard et des collègues internationaux, le laboratoire de recherche de la professeure Loiselle élaborera et mettra à l’essai une plateforme interactive qui permettra aux femmes de donner suite aux résultats relatifs à leur risque génétique du cancer du sein (c.-à-d. un outil subséquent à l’évaluation). Cette plateforme supplémentaire fournira aux femmes des rappels de dépistage, un suivi de leurs rendez-vous, des communications fournisseur-patient et des services additionnels axés sur les personnes.
Pour plus de renseignements sur ce programme, veuillez contacter :
Jacqueline Vachon, M. Sc.
loiselle-research@mcgill.ca
(514) 398-8977
« Être reconnu » par l’équipe de soins de santé peut améliorer de façon significative l’expérience des soins, les comportements liés à la santé et les résultats cliniques chez un patient. « Être reconnu » réfère à la perception, chez le patient, qu’il existe un rapport humain avec les fournisseurs de soins de santé, qui comprend la personnalisation des soins selon l’état de santé, les besoins uniques, les croyances et les valeurs culturelles du patient. Jusqu’à présent, aucune stratégie claire n’a été proposée pour renforcer chez les patients le sentiment d’ « être reconnu ». Les technologies de l’information dans le domaine de la santé apparaissent comme une voie prometteuse pour remédier à cette lacune. Notre équipe de recherche a collaboré récemment avec des experts en TI pour concevoir une application de télésanté qui permet d’acheminer de l’information cruciale au sujet des patients – incluant leurs préoccupations actuelles en matière de santé et leurs préférences sur les plans de l’information et du processus de décision – afin que les fournisseurs de soins de santé puissent adapter de manière optimale leurs interventions selon les besoins des patients. La nouvelle application sera mise à l’essai dans le cadre de l’étude, ce qui permettra de vérifier si elle contribue à améliorer l’expérience du patient tout en optimisant l’interaction entre les patients et les fournisseurs en soins de santé.
Pour plus de renseignements sur cette étude, veuillez communiquer avec :
Jacqueline Vachon, M.Sc.
loiselle-research@mcgill.ca
(514) 398-8977
Cette étude entreprend la mise à l’essai de BELONG, une nouvelle application en ligne destinée au milieu de la santé. Cette plateforme a été conçue pour améliorer l’expérience globale du patient en ce qui a trait au cancer et aux soins. Plus spécifiquement, BELONG aide les personnes atteintes de cancer à répondre à leurs besoins en matière d’information et de soutien, à encourager la communication et la collaboration dans la prise de décision à propos du traitement, à suivre leur propre cheminement face au cancer et à s’y retrouver dans les méandres du système de santé. L’application peut être installée sur des appareils mobiles et des tablettes, comme les téléphones intelligents et les iPads. Ce projet pilote porte en particulier sur l’expérience des femmes aux prises avec un cancer gynécologique et sur les points de vue de l’équipe multidisciplinaire.
Bulletin de nouvelles : "Israeli startup fights against cancer"
http://www.israelnationalnews.com/News/News.aspx/230331
Pour plus de renseignements sur cette étude, veuillez communiquer avec :
Prof. Carmen G. Loiselle ou Saima Ahmed, B. Sc., candidate à la M. Sc.
loiselle-research@mcgill.ca
saima.ahmed@jgh.mcgill.ca
(514) 398-8977
De façon paradoxale, l’expérience de jeunes adultes vivant avec un cancer avancé peut être à la fois très difficile et un catalyseur sur le plan de la croissance personnelle. La complexité de leur expérience est en partie due à leurs besoins physiques, psychologiques, développementaux et sociaux uniques. Prof. Carmen Loiselle et L’espoir, c’est la vie (par la participation de Suzanne O’Brien) ont entrepris un projet de film documentaire innovateur afin d’en rendre compte. L’équipe souhaite présenter ce documentaire à différents médias, pour sensibiliser la population à la réalité très particulière de ces jeunes adultes aux prises avec un cancer avancé et qui négocient avec le système de santé. Le but est également d’amasser des fonds pour financer les services offerts par L’espoir, c’est la vie aux jeunes adultes vivant avec le cancer.
Pour plus de renseignements sur ce documentaire, veuillez communiquer avec :
Prof. Carmen G. Loiselle
loiselle-research@mcgill.ca
(514) 398-8977
Le Réseau de cancérologie Rossy a mis en place un programme visant à sonder le niveau de satisfaction des patients, au moyen du Ambulatory Outpatient Satisfaction Survey (AOPSS). Ce sondage s’adresse aux patients atteints de cancer de trois hôpitaux affiliés à McGill : le Centre universitaire de santé McGill, l’Hôpital général juif et le Centre hospitalier de St. Mary (CHSM). La professeur Loiselle a eu l’occasion d’y ajouter des questions liées à son programme de recherche sur les préférences des patients au sujet de l’information et des services en cancérologie. Avec plus de 2 000 patients canadiens interrogés à ce jour, un riche ensemble de données a été constitué pour vérifier des hypothèses et pour améliorer les soins aux patients.
Chez les personnes âgées, la prise de décision relative au traitement est exposée à de nombreux défis en raison des variations dans l’état de santé, du fonctionnement au quotidien et du statut social; de l’opposition croissante entre qualité et durée de vie ; et au manque de recherche dans ce domaine. De récentes données supportent la participation du patient dans le processus de prise de décision relative au traitement. Cependant, du point de vue d’un Q&R transmis aux patients, il n’existe que peu d’informations sur ces variations mentionnées. Dans cette étude longitudinale et qualitative, des hommes et des femmes âgées de 70 ans et plus ayant reçu un diagnostic de cancer colorectal ont été interrogés et suivis tout au long de leur traitement. Les renseignements acquis grâce à cette étude permettront d’avoir une meilleure compréhension des inégalités présentes dans le domaine des soins chez les personnes âgées et éclaircira sur les interventions à offrir.
Pour plus de renseignements sur ce programme, veuillez communiquer avec :
Fay Strohschein, RN, MSc(A) candidate au doctorat ou Dr. Carmen Loiselle
strohschein@mail.mcgill.ca
loiselle-research@mcgill.ca
Ce projet, financé par la Chaire Christine et Herschel Victor/L’espoir, c’est la vie oncologie psychosociale, vise à créer une liste de contacts pour les individus qui sont intéressés à être avisé des futurs études du LoiselleLab. Avec 87.5% des participants des recherches précédentes exprimer leur curiosité en ce qui concerne des nouvelles recherches reliées au cancer, cette liste de recherche électronique contenant les bases de données importantes demeure un système idéal pour améliorer l’efficacité et la communication durant le recrutement des participants.
Pour plus de renseignements sur ce programme, veuillez communiquer avec :
Jacqueline Vachon, M. Sc.
loiselle-research@mcgill.ca
(514) 398-8977
L’objectif de cette étude exploratoire était de mieux comprendre de quelle façon les jeunes adultes vivant avec un cancer avancé aspirent au maintien d’un sentiment de contrôle dans le contexte d’un avenir incertain. De plus, les barrières et facilitateurs à l’autonomisation étaient étudiés dans le contexte de leurs soins en oncologie. Cette étude a fourni des observations susceptibles d’éclairer les stratégies appelées à être mises en œuvre pour encourager l’autonomisation, ainsi que les interventions visant à mieux soutenir les jeunes adultes vivant avec l’incertitude d’un diagnostic de cancer.
Une recherche précédente avait porté sur la communication médecin-patient lors de l’annonce d’un diagnostic, dans l’élaboration de plans de traitement et pour ce qui est discuté des expériences du patient face au cancer. On a consacré moins d’attention à mieux comprendre la relation infirmière-patient et son lien possible avec le sentiment du patient d’« être reconnu » dans le contexte des soins de santé. Une meilleure compréhension de la perspective du patient concernant la possibilité d’« être reconnu » apportera un éclairage sur l’importance complémentaire que revêt la communication infirmière-patient et entre infirmières dans les établissements de soins en oncologie. Le but principal de cette étude était d’explorer en profondeur l’expérience de patients atteints de cancer, relativement à la possibilité d’« être reconnus » dans un établissement de soins ambulatoires en oncologie où des réunions d’étude de cas ont été établies.
La professeure Loiselle était la chercheuse principale du programme PORT (Programme en oncologie psychosociale pour la recherche transdisciplinaire), une initiative stratégique pour la formation en recherche dans le domaine de la santé. Ce programme de formation transdisciplinaire, qui était financé par les Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC), s’adressait à des étudiants des deuxième et troisième cycles et à des boursiers postdoctoraux provenant d’un éventail de disciplines et qui poursuivaient des recherches sur la survie au cancer du sein, dans six universités canadiennes reconnues. PORT s’est taillé une réputation internationale et représente une norme d’excellence en matière de formation à la recherche en oncologie psychosociale, alors que d’autres pays instaurent des programmes semblables en faisant appel à nos conseils. Les boursiers PORT se servaient de ce cadre de formation pour réaliser des recherches en oncologie psychosociale de haute qualité et qui pourraient affecter de façon positive la vie de personnes touchées par le cancer. Les boursiers PORT ont produit plus de 340 publications – articles acceptés par un comité de lecture ou rapports publiés – et ils ont livré plus de 400 présentations scientifiques.
Ces dernières années, la professeure Loiselle et une équipe de chercheurs (S. Lauzier, E. Maunsell, T. Vuong, V. Lee et T. Duschene) ont mené un large essai clinique aléatoire pour étudier les effets de l’Oncology Interactive NavigatorMC (Navigateur interactif en oncologie), une excellente ressource Web sur le cancer, provenant du Canada (JackDigital.com). Une fois la collecte de données terminée, l’équipe a entrepris d’analyser l’effet de cet outil en ligne sur l’expérience des patients face au cancer.
La professeure Loiselle a examiné les effets de l’Oncology Interactive NavigatorMC (Navigateur interactif en oncologie) sur les résultats cliniques dans le cadre d’une étude multisite quasi-expérimentale auprès de 250 hommes et femmes ayant récemment reçu un diagnostic de cancer. L’étude a montré, chez un sous-ensemble de patients, que l’accès à cette plateforme multimédia en oncologie accroît de façon significative la satisfaction du patient relativement à l’information obtenue sur le cancer et à la qualité de vie.
En mai 2009, le Partenariat canadien contre le cancer a commandé une étude pilote pour comprendre de quelle façon la navigation virtuelle aide les patients atteints de cancer. Plus précisément, l’étude pilote avait pour but d’évaluer l’outil Oncology Interactive Navigator (OIN) (Navigateur interactif en oncologie) dans sept centres du cancer au Canada.
Pour plus de renseignements : http://www.deslibris.ca/ID/235207